Ni l’un, ni l’autre n’êtes suisses, et vous ne vous êtes pas mariés en Suisse. Mais si vous envisagez tous les deux de divorcer et que l’un d’entre vous réside en Suisse, vous avez intérêt à divorcer en Suisse ! Pourquoi ? Parce que depuis que la législation encadrant le divorce suisse a été remaniée, divorcer à l’amiable (« par consentement mutuel ») est fort peu coûteux ! (Attention, cependant, si vous avez des enfants et qu’ils résident ailleurs qu’en Suisse, c’est la législation de leur pays de résidence qui statuera sur leur sort).
Divorce suisse à l’amiable : un coût minime… !
Qu’est ce qui permet d’affirmer que le divorce suisse à l’amiable est avantageux ? Premièrement le fait qu’on peut l’obtenir sans passer par des avocats et qu’en ce cas on n’a que les droits de greffe à régler. Certes, si l’on doute de pouvoir remplir le dossier à présenter au juge, mieux vaut se faire aider ! Or on peut tout à fait s’appuyer sur l’expertise du site pionnier en la matière qu’est divorce.ch. Coût de cet accompagnement ? 550.- ! Bien sûr, on peut toujours solliciter un avocat (en voici une liste pour un divorce à Vaud ou ailleurs : https://divorce.ch/introduction-au-divorce/avocat/liste-des-avocats ).
Source : www.divorce.ch
Divorcer à l’amiable en Suisse exige de s’accorder sur la suite
Le gros morceau d’un divorce suisse à l’amiable est la convention de divorce suisse que doivent remplir les époux pour indiquer au juge leurs arrangements pour la suite. Mais, en cas de litige sur tel ou tel point, ils peuvent s’appuyer sur une médiation !
