Certains bijoux ont vocation à être portés durablement, quasi à vie et en continu ! On compte parmi eux les alliances, les médailles de baptêmes, les médailles et les pendentifs « porte-bonheur » ou « porte-foi », les chevalières aux armoiries familiales, certaines boucles d’oreille (que l’on songe à la boucle d’oreille anti-naufrage des marins) et même les gourmettes gravées de son nom et / ou de sa date de naissance.
Ces bijoux au long cours dont la vocation première n’est pas esthétique
Le point commun de tous ces bijoux ? Ils ne sont pas ornementaux, ils sont symboliques ! Si, bien sûr, mieux vaut qu’ils soient seyants, leur objectif n’est pas esthétique. Leur vocation est, soit de protéger, soit de positionner dans la société. Les chevalières et autres bagues masculines ont ainsi eu pour fonction de définir le statut social de leur porteur (matières utilisées, nombre, symboles, armoiries) et même parfois leur fonction (à Rome les puissants utilisaient leur chevalière comme sceau pour leur courrier). Et n’oublions pas que les premières médailles (frappées comme la monnaie) ont célébré /distingué des personnages importants (avec leur effigie), que nombre d’entre elles célèbrent des exploits (médailles sportives, décorations officielles), d’autres des fonctions (maire par exemple).
Discrétion des médailles de protection (baptême, naissance)
A contrario des bagues toujours visibles (et dans une moindre mesure des petites boucles d’oreille), ou des grosses médailles arborées sur la poitrine ou en écharpe, les médailles et nombre de pendentifs de protection se cachent facilement sous un vêtement. La plupart sont des médailles de baptême civil ou religieux, traditionnellement offertes par la marraine du baptisé à l’occasion de sa cérémonie de baptême, ou des médailles dites de naissance offertes pour honorer une naissance. En ce cas, elles portent généralement gravés le prénom et la date de naissance du baptisé au verso et un symbole de protection religieux (vierge, ange, Christ), ou laïque (colombe, corne d’abondance, étoile…) moulé, frappé ou ajouré au recto.
Médailles et pendentifs de foi (et donc aussi de protection)
Mais il peut aussi s’agir de pendentifs ou de médailles de « foi » (et du même coup de protection) reliant leur porteur à de grandes figures spirituelles. Dans les sociétés chrétiennes, de nombreuses personnes s’offrent un petit pendentif en forme de croix, ou une médaille de saint, signe à la fois de leur lien particulier à ce saint ou à la croix, et de protection par ce même saint ou cette croix.
Quel que soit le motif recherché, sachez que la maison Sanctis offre un immense choix de médailles et de pendentifs !
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